Voyage En Belgique, Vers L’Enfer. (4/20)

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Un certain moment, ma raison l’emporte sur mes sens et je vais dans le chalet chercher un outil pour couper mon collier.
Je place l’outil coupant sur le collier, au moment d’appuyer, une phrase du C.D. me revient.

« Partir une semaine. »

Semaines d’amour avec l’homme qui a su allumer mon corps, une fois, deux fois, je fais le chemin entre la maison et l’outil qui peut me redonner une virginité familiale.
Chaque fois, je repasse le deuxième CD, plus je regarde et plus je trouve des motifs pour faire signer ce contrat à Pierre, seul son refus me fait hésiter encore.
La promesse de l’après-midi de rêve qu’il procurera à mon corps finit par emporter ma décision, je vais chercher le contrat qui m’attend à la boîte aux lettres.
Je l’ai en main, je le parcours en entrant à la maison, rien que de bien classique pour un contrat d’embauche.
Je parcours le volet 1,2 et 3. j’en ai assez vu, je ne regarde même pas la page 4, je le dépose sur la table de la salle à manger et je le signe espérant que Pierre en fera de même.
J’en profite pour récupérer les deux CD et je vais les cacher parmi mes petites culottes.
À dix-sept heures il arrive, comment aborder le sujet !

• Pierre, Hugo le voisin, est venu me demander si tu avais pris ta décision, je lui ai dit que tu étais d’accord pour le chemin vers la rivière.
• Pour la rivière, je verrai ça demain.
• Il s’appelle Hugo.
• Oui, il me la dit, il en a profité pour me faire une proposition.
• Laquelle ?
• Il cherche une secrétaire et m’a proposé le poste.
• Pour qu’elle travaille.
• Secrétaire itinérante, car il se déplace tout le temps pour ses affaires, nous partirions la semaine et j’aurais tous mes week-ends pour aller à Sète pour que je sois avec les s, je les verrais aussi longtemps qu’en ce moment.
Tu sais que les s me manquent, lorsque tu m’as rencontré, je venais d’être accepté comme hôtesse de l’air, pour rester près de toi, j’ai abandonné mes projets de grand espace, je pourrais voyager, car le temps est long ici toute la journée.



Je sens que je ne suis pas loin de le faire accepter, je m’approche de lui, je me recule vers la table ou j’ai posé mon contrat en le tirant par la main et en l’embrassant tendrement.
Je pause tout doucement ma tête sur son épaule.

• Signe et tu auras tout de moi, je t’ai privé de certains plaisirs depuis notre mariage, Alice est passée cette après-midi et moi qui n’aime pas parler de ces sujets nous avons disserté sur le sexe dans le couple.
Elle m’a étonnée sur ce qu’elle pratique avec son amant du moment.
• Tu m’as bien dit ce que je voudrais.
• Tout !
• Suce-moi ma chérie, tu as toujours refusé !
• Oui, mon cœur, mais avant peux-tu signer ce contrat !

Je me saisis du contrat et du stylo que je pose près de lui, sans rien regarder, il signe, je me baisse et j’ouvre son pantalon, je sors sa verge.

• Chérie, j’ai toujours rêvé que de te la mettre dans la bouche, c’est la première fois.
• Mon cœur, j’étais vierge le jour de notre mariage, c’est pour cela que j’ai toujours refusé de te le faire ne sachant pas que cela se pratiquait entre un mari et sa femme.

Je ne peux plus parler, car ma bouche est pleine, je le suce, le pompe sans le faire arriver jusqu’au plaisir, je me relève et me place face à la table, il dégage mes seins et soulève ma jupe.

• Tu n’as pas de culotte.
• Je voulais te faire la surprise, je vois que c’est réussi.

Pendant qu’il me caresse, j’ai devant les yeux le contrat qui va me permettre d’êtres des heures et des jours avec Hugo.

• Tu n’as plus tes règles.
• Elles se sont terminées ce matin mon amour, quelle chance.

Quand on entre dans le monde de l’adultère, il faut savoir réagir vite.
Il prend sa bite en main et me pénètre, je sens que je ne prendrais pas mon plaisir, la verge de mon mari n’est pas as la hauteur de celle de mon amant, pour ne pas le décevoir, je me mets à haleter comme si la jouissance arrivait.

Je donne des coups de cul pour accélérer sa jouissance, même si Hugo m’a donné son accord pour lui faire tout ce qu’il désire, nos deux signatures que j’ai devant les yeux m’incitent à abréger notre coït.
J’attends avec impatience qu’il me libère, s’il savait que ma vulve même s’il la pénètre est la propriété de mon bel étalon.
Je le provoque tellement avec mon cul qu’il m’envoie de chaudes giclées au fond de mon vagin.
Pour donner le change, je me retourne et l’embrasse simulant l’amour fou qu’il m’incite.
Rapidement nous passons à table, le sperme au fond de mon corps m’indispose, vivement que j’aille me doucher.
Le repas terminé, je débarrasse, dès que je l’ai pu, j’ai caché le contrat dans le vaisselier craignant qu’il ne revienne sur sa décision.
Enfin, je peux me doucher, je sors de la salle de bains et je me glisse dans les draps évitant soigneusement de réveiller Pierre ne voulant plus avoir de rapport avec lui.
Le matin, il est parti lorsque le réveil que j’avais pris soin de remonter sonne.
Je suis joyeuse. Je me pomponne et lorsque je suis prête, je rejoins l’institut à l’adresse indiquée, j’en ressors la chatte comme Hugo le souhaitait, lisse.
Je ne me dépêche pas pour rentrer, craignant que le temps ne me semble long.
Comment m’habiller pour aller chez lui ?
L’imper, c’est déjà fait, entièrement nue sur la paire de talons hauts que j’ai achetée, j’ai peur du risque que je prendrais, le chemin entre nos deux maisons étant quelquefois lieu de passage.
Je cherche dans mes affaires, je retrouve une guêpière achetée dans les premiers jours de notre mariage, nous étions allés à une soirée costumée, je m’étais habillé en femme fatale et la guêpière faisait partie du costume.
Je vais pour la fermer sur mon buste, mais je n’y arrive pas, mes deux grossesses ont augmenté le volume de mes seins, mon ventre n’a pas pris un centimètre, mais mes deux obus n’ont pas doublé mais presque.

J’essaye une autre méthode, je m’allonge, je tire de chaque côté et j’engage une agrafe, les autres suivent facilement, dès que je relâche mes poumons, ils se tendent et je suis tellement serré que j’ai du mal à respirer.
Je me regarde dans la glace, l’effet de mes seins fortement comprimés va faire bander Hugo, si avec cette silhouette, il ne me baise pas aussitôt entré, je ne sais pas quoi imaginer de plus.
C’est juché sur les chaussures les plus hautes que j’ai achetées en ville ce matin et avec ma guêpière sans aucune culotte que j’apporte mon contrat à mon amant, nue ou comme je suis, espérant que personne ne me croise.
Je n’ai pas besoin de frapper, Olga m’ouvre, elle me prend par la main et me fait entrer dans la pièce où je suis venu l’autre fois.
À part le lit rond, le décor a légèrement changé, plus de tables mais deux fauteuils placés côte à côte, le placard est ouvert, la cravache est là.
Ce qui me saute aux yeux, c’est un homme debout les bras croisés entièrement habillé d’un costume en latex, même le visage est recouvert, seul un carré à hauteur de la verge fait apparaître son corps.
Hugo est assis dans un fauteuil, je lui tends le contrat qu’il laisse tomber au sol.

• Va sucer ce mâle, apprends ce que tu vas avoir à faire plus tard.

Qu’est-ce qu’il veut dire, sa voix est cassante, je devais passer un après-midi de rêve et je me réveille en plein cauchemar, Olga avance, cravache en main, avant que j’aie le temps de me protéger, j’en prends un bon coup sur mes seins !
Je cède et je me mets à sucer l’homme qui ne tarde pas à bander.
L’homme me saisit, me projette sur le lit, me retourne et avant que j’aie le temps de comprendre, il me sodomise, je crie de dépit et surtout à cause du mal que je ressens. L’homme me besogne oubliant que moi aussi j’espère prendre du plaisir.
La chance veut qu’il éjacule très vite, il se retire et je sens la cravache caresser mes fesses.
Olga, la manie avec dextérité.

Malgré le mal que je ressens au début, ma chatte s’échauffe après la première série de coups, je subis le bon vouloir d’Olga et de l’inconnu pendant la moitié de l’après-midi.
Hugo reste stoïque tout le temps assis dans un fauteuil, à aucun moment il a un geste vers moi.
Je ne comprends pas que tous ces coups de cravache, de bites, ses pincements sur mes mamelons ou mon clitoris au lieu de me rebeller, me procurent des jouissances phénoménales.
Est-ce parce qu’Hugo me voit souffrir et jouir, que j’accepte tout et plus au bout d’un moment en redemande ?
Quand l’inconnu montre des signes de fatigue après s’être servi de mon corps sans que je puisse résister !
Quand l’homme me met sa bite dans la bouche et que j’essaye de le faire rebander et que je n’y arrive pas, la voix de l’homme qui n’a rien dit de l’après-midi lâche.

• Hugo, elle est à toi, je n’ai plus de jus à lui donner.

Après ces mots l’homme arrache sa cagoule et Pierre m’apparaît.

Un cri sort de ma bouche, pourquoi ?

• Je t’ai vendu à Hugo pour payer une dette de jeu au poker, j’avais le choix entre vendre l’entreprise où te vendre toi, j’ai choisi de te vendre, car depuis dès le début de notre mariage, tu as toujours refusé de baiser avec moi comme une femme aimante doit savoir le faire.
• Mais pourquoi ?
• À partir de maintenant le contrat que nous avons signé en page 4 stipules que ma dette est effacée dès que ce contrat est signé. Adieu.
• Les s ?
• Si tu avais lu et je savais que tu as horreur de lire, sur cette page, il est dit que tu les confis définitivement à mes parents, il est ajouté que tu les verras un week-end sur 4 comme Hugo te la promit, ils te seront apportés dans un hôtel sous la surveillance permanente de nos amis.
Va jusque chez nous, met quelques affaires dans une valise et revient d’ici une heure, tu pars demain matin 9 heures avec des collègues sur l’un des lieux où tu travailleras…

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